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    Cela faisait depuis quelques années que je me disais que j'assisterais bien au Prix Constantin. C'est maintenant chose faite !

    J'ai en effet accompagné ce cher Fred et son amie Nadia à la 10e édition du Prix qui se tenait comme tous les ans à l'Olympia.

    Pour ceux qui ne le connaissent pas, le Prix Constantin récompense les nouveaux artistes qui ont marqué l'année par leur talent, leur originalité et leur potentiel, en leur offrant un tremplin supplémentaire. Bref, l'occasion d'une soirée sympa ...... avec en plus des surprises au rendez-vous !

    Déjà, j'ai la surprise d'apprendre que le président du jury, Gaëtan Roussel, va se produire en première partie. Superbe show, plein d'énergie, avec le point d'orgue sur "Help myself". Il accueille 2 invités : Benjamin Biolay pour une reprise de Christophe (décevant) et Camélia-Jordana (brillant !).

    Ensuite, d'anciens lauréats qui ne sont autres que Raphaël, Camille, Olivia Ruiz, Cali et ... Daphné (inconnue au bataillon) viennent rendre hommage à Alain Bashung, en interprétant en collégiale "Vertige de l'amour". On en aurait voulu plus !

    Puis, les nominés se produisent, avec une chanson chacun.
    L'occasion pour moi de découvrir sur scène Alex Beaupain, L, Bertrand Belin, Lisa Portelli, Cyril Mokaiesh, Cascadeur, Sly Johnson, Brigitte, Selah Sue et The Shoes (les chouchous de BETC music !). Très belles prestations, vraiment.

    Par contre, gros problème de conception du show avec ce principe de changement de scène pour chaque artiste. Forcément, cela prend du temps entre chaque artiste et il faut combler. Ils n'ont rien trouvé de mieux que de confier à Thomas VDB (un nobodz pour moi) la lourde tâche d'interviewer sur un registre "léger" chaque nominé après sa prestation : c'était réellement navrant.

    Du coup je me dis qu'il est peut-être finalement plus intéressant de regarder la retransmission à la tv, cette dernière aura lieu le 28 octobre sur France 2 !

    Enfin, c'est le moment de la révélation du gagnant et là grosse déception : c'est Selah Sue qui l'emporte. Attention, je n'ai rien contre Selah Sue, j'apprécie son single mais je trouve dommage qu'on donne cette visibilité à une artiste déjà révélée qui de surcroît chante en anglais et qui n'est même pas française ! (oui, je sais, mon côté chauvin, c'est mal).

     

    Allez, pour le plaisir, je vous mets du Gaëtan Roussel ! (ça va faire plaisir à Fred)

     

     


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    Saviez-vous qu'une maison hantée se cache dans le 10e ?

     

    En effet, c'est rue de Paradis que se trouve le Manoir de Paris, un nouveau concept de maison hantée à mi-chemin entre une attraction et un spectacle. C'est entre collègues que nous avons décidé de nous faire peur ...

    Le Manoir hanté vous invite à (re)découvrir des légendes sombres de la capitale telles que le Fantôme de l’Opéra, Quasimodo, ou encore le Masque de fer... Sur 2 étages et plus de 1000m², vous traverserez ces univers effrayants : j'ai été plutôt impressionnée par les décors qui sont superbes, et également par la qualité du jeu des acteurs.

    Seuls bémols :

    - j'aurais aimé plus d'interactions avec le manoir lui-même, tel ce couloir claustrophobique qui m'a beaucoup plu !

    - le son était parfois fort, et je n'ai pas entendu/compris tout ce que disaient les comédiens (mais c'est peut-être lié au fait que nous étions un groupe de 6)

     

    Attention, ce n'est pas donné : 20€/personne pour une visite de 30 à 45 minutes. Mais vu le nombre d'acteurs et les moyens déployés, cela me semble correct.

    Mon conseil, allez-y en petit groupe de 3 ou 4 personnes max avec au moins une fille (c'est impératif, c'est plus drôle !). Personnellement, je ne faisais pas la fière et me suis cachée tout le long derrière mes collègues !

     


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    En ce qui concerne la cuisine japonaise, je peux compter sur Fred qui me fait découvrir petit à petit ses bonnes adresses.

    Ce dernier m'a fait découvrir un petit restaurant qui se trouve à 2 pas de chez lui dans lequel j'ai pu déguster mes meilleurs sushis EVER.

    Rien que ça !

    Ce restaurant, tenu par de vraies japonaises, est minuscule (10 places uniquement) et est très convivial ! La cuisine, servie dans de la vaisselle traditionnelle est non seulement délicieuse mais également copieuse !

    En apéritif, vous pourrez goûter aux Edamame, les haricots japonais.

    Puis, je vous conseille vivement le menu "sushi special" : je ne me souviens plus de tout ce qui composait mon assiette, mais il n'y avait que des poissons différents (dont un que je n'avais jamais goûté auparavant), et une belle saint-jacque. 

    Enfin, testez la délicieuse crème brulée au sésame noir, crémeuse et juste sucrée comme il faut ! Enjoy !

     

     

    Kokoya - 5, rue des Batignolles - Paris XVII
    Tel : 01 44 90 98 12.
    Ouvert du mardi au samedi de 12h à 14h30 et du jeudi au samedi de 19h à 22h.
    Sur place ou à emporter



     


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    C'est chez Deedee que j'ai entendu parler pour la première fois des pâtisseries fait-maison de Lilijoe. La Fringale se devait donc de tester ces douceurs !

     

    J'ai donc décider de me faire livrer :

    - Les moelleux double chocolat (7€30 les trois)

    - Les double sablés nature au coeur fondant chocolaté-noisette (6€40 les trois)

    - Les double sablés noisette au coeur fondant chocolaté (7,05€ les trois)

     

    J'ai profité d'une offre promotionnelle qui m'a permis de ne pas payer les frais de port et d'avoir des cookies en plus ! (Pour avoir vent de ces offres, il suffit de liker la page Facebook de Lilijoe)

     

    Certes, le prix peut sembler un peu élevé, mais pour du fait-maison livré partout en France sous 48h, cela reste raisonnable.

    A la réception du colis, j'ai été agréablement surprise par les petits rubans et jolis emballages qui entourent les douceurs.

    Et question goût ? Eh bien, j'ai été un peu déçue par les moelleux (un peu lourds à mon goût), mais j'ai beaucoup aimé les sablés, et encore plus les cookies qui étaient vraiment réussis ! On sent que Lilijoe utilise des ingrédients de première qualité. A noter qu'elle n’utilise ni colorant, ni conservateur.

    En conclusion, je pense qu'à l'occasion d'un goûter entre filles, cela peut être l'occasion d'étonner vos amies ! Personnellement, je pense que je craquerai de temps en temps pour les cookies ! :)  

     


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    Jusqu'à présent, je ne savais pas trop quoi penser des corridas. Sans être une fervente défenderesse des animaux (loin de là ! je les préfère dans mon assiette en général ! :)), je me demandais quand même quel est l'intérêt de ce spectacle, avec la mise à mort gratuite des taureaux.

    Finalement, la meilleure chose était de tester par moi-même pour me faire une opinion, et il se trouve que j'ai eu l'occasion d'aller à la Plaza de Toros lors de mon dernier séjour à Madrid.

    Déjà les arènes sont magnifiques : avec une capacité de 20 000 personnes, vous comprendrez qu'on se laisse prendre rapidement par la ferveur de la foule.

    Puis le spectacle commence : on aura droit en tout à 6 corridas (avec 3 matadors différents). Ce que je ne savais pas, c'est qu'une corrida se décline en 3 tiers :

    - Au cours de la première partie, le tercio de pique, deux picadors à cheval affrontent le taureau et le blessent à l'aide d'une longue pique, ce qui permet à la fois de l'affaiblir et d'évaluer son comportement.

    - Au cours du deuxième tercio, des banderilleros, plantent trois paires de banderilles dans le dos du taureau.

    - Enfin, lors du troisième tercio (la mise à mort proprement dite), le matador, après une série de passes exécutées avec sa muleta, met à mort le taureau par l'estocade portée avec son épée.

    J'ai donc été un peu déçue de réaliser que le matador prend peu de risques (moins que les banderilleros en tous les cas) puisque le taureau est déjà bien affaibli lorsqu'arrive le troisième tercio. De même, j'ai peu apprécié l'intervention des picadors, à mon sens très injuste pour le taureau.   

    Le plus ludique restait donc l'intervention des banderilleros qui eux prennent vraiment des risques et affrontent réellement le taureau. C'est aussi la partie la moins douloureuse pour le taureau. 

    Sur les 6 corridas, nous avons eu droit à un magnifique combat, une vraie danse même. Le public a été rapidement conquis par le charisme du matador, la mise à mort a été propre et rapide. Acclamé, salué par des mouchoirs blancs par le foule (magnifique spectacle, j'avoue que je me suis prise au jeu), le matador a ensuite fait un tour d'honneur, c'était réellement impressionnant.

    Bon, j'aurais bien aimé qu'un matador se fasse (gentiment) encorner, rien que pour montrer que le risque est réel, mais à la place, je n'aurai eu droit qu'à un cheval renversé, et ça, ça ne m'a pas fait plaisir du tout.

    En conclusion, je reste donc sous le charme du spectable d'un beau combat, mais je reste sceptique quant à la mise à mort du taureau. Même si j'ai bien compris que c'était le meilleur moyen de départager les matadors et qu'il y a une manière d'exécuter proprement le taureau, je n'ai pas du tout apprécié le spectacle du taureau agonisant, et de son corps tiré par les chevaux autour des arènes ... la trace de sang était pour le moins gore, et pour une fois ça ne m'a pas plu.

     

     


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