J'aime tellement le Café de la Danse que je me suis inscrite aux alertes Fnac ... et maintenant dès que je vois un nom qui m'évoque quelque chose, j'y vais !

Bref, je vois par une de ces alertes que Thomas Dybdahl va s'y produire, en acoustique de surcroît. Même si je ne connais que quelques titres, je saute donc sur l'occasion.

Et je n'ai pas été déçue ...

Tout d'abord, nous avons droit à une sympathique première partie, par Mariama, qui me fait notamment frissonner sur son titre Underground... cette charmante demoiselle nous présentera son premier album en mai !

Arrive ensuite Thomas Dybdahl, avec 2 acolytes, à la contrebasse et à la guitare, et c'est parti pour un agréable concert intimiste, avec une excellente complicité avec son public, et surtout une magnifique voix, que ce soit dans les graves ou les aigüs. Un moment tout simplement magique...

On en redemande ! 

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Je savais que Nath avait adoré le premier single de Soko, I'll kill her, datant déjà de 2009 (et qui a depuis été renié par son interprète).

Du coup, lorsque j'ai vu que cette dernière passait au Café de la Danse, je me suis dit qu'on allait se faire une bonne soirée entre nanas !

Bon, ça commence moyennement avec une première partie qui nous endort (Luke Rathborne).

Puis arrive Soko. D'entrée de jeu, son aspect négligé me gêne... mais elle a une sacrée voix et commence à m'embarquer.

Le problème, c'est que son côté gamine capricieuse parasite sa musique : aucune communion avec son public, très autoritaire avec ses musiciens, manque d'humilité, gestion de la scène très brouillonne, on a l'impression d'assister à une répèt et cela ne semble pas la gêner. Finalement on a l'impression qu'elle est sur scène pour son propre plaisir, et éventuellement pour ses potes, mais absolument pas pour ceux qui ont payé leur place.

Vraiment dommage.

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23e édition des albums préférés de la Fringale ! Les liens renvoient vers un album précis par artiste, à découvrir sur Deezer.

Savez-vous que Mathieu Boogaerts se produit tous les mercredis à La Java ?

C'est ma cops Alexia qui m'a fait découvrir le lieu et le principe, et j'avoue être tombée sous le charme.

J'y suis donc allée une première fois avec Alexia, et j'ai découvert cette petite salle au charme fou, avec un Mathieu Boogaerts qui se produit seul avec sa guitare, reprenant d'anciennes chansons et en proposant de nouvelles, avec un public entièrement acquis qui connaît les chansons par coeur : une vraie connivence entre l'artiste et son public.

Après on aime ou on n'aime pas : Mathieu Boogaerts a une voix assez particulière, il parle beaucoup entre les chansons, et il faut aussi savoir que ces chansons n'ont ni queue ni tête pour qui n'écoute pas extrêmement attentivement les paroles, cela peut avoir un côté rebutant.

Cependant, j'y suis retournée la semaine suivante car cette fois 2 musiciens l'accompagnaient (batterie et basse), et cela a apporté énormément aux chansons : j'ai passé un excellent moment ! 

Attention, les airs se retiennent super facilement, je me suis réveillée le lendemain avec l'un d'eux en tête, c'était assez étrange !

Bref, une bonne idée de sortie, à seulement 11€ : cliquez ici pour voir les prochaines dates !

Un conseil, évitez de vous sécher les mains dans les toilettes !

La Java : 105 rue du Faubourg du Temple, 75010 Paris

Parce que malgré tout, ça fait plaisir de l'entendre à nouveau ... quelle voix !